C’est le principale reproche que je formule contre le catholicisme, à force de vouloir sauver l’esprit, elle dédaigne le corps.
Pourtant Jésus lui-même n’a jamais fait une telle erreur ! Le malade se voyait soigné de sa maladie physique, Jésus s’esquivant ensuite pour laisser le malade guéri réfléchir librement sur sa guérison.
Les religions d’obédience chrétienne devraient mieux imiter Jésus et donc organiser sur le terrain une force politique avec des positions claires issus d’un débat intime et démocratique.
Tel était en tout cas la façon de faire des premières communautés chrétiennes, dont les réthoriciens lumineux mettaient en déroute des rois et des princes renversés
devant tant de conviction.
Si les forces chrétiennes ratent ce rendez-vous politique, les forces mahométannes n’ayant jamais eu que celui-là ne l’ont jamais raté !
Les forces judaïques les plus faibles démographiquement, appliquent ce dicton juif pour survivre : « Ce que tu ne donnes pas à Jacob tu le donnes à Esau ! »