Question bête : cette farouche volonté étatique de sauver l’immobilier n’est-elle pas due à la crainte d’une grogne électorale sachant que le patrimoine des Français se réduit essentiellement à leur logement justement ?
Question bête numéro 2 : en supposant qu’un politicien décide de lâcher la pierre, les Français, rentiers dans l’âme pour beaucoup, s’en accommoderaient-ils ?
Merci.