Dans ce grand n’importe quoi qui déroute et fait réfléchir à cette soupe primordiale dans laquelle nous nageons, ben on peut encore trouver quelques nutriments intéressants ...
Lorsque un de mes enfants très jeune me raconte que lors de son voyage en Allemagne, traversant et s’arrêtant en Belgique, commandant une glace servie dans une coupe évasée (oui, un V à angle aïgü) avec une cuiller à soupe, on n’y croit pas ! C’est pourtant ce qui vient de se passer avec le Canada ! BRAVO !
Maintenant, on peut rire de la bécasse de Ravenol (disparue des pages google) mais pas de la fraise des bois si on lit ceci :
« ses feuilles riches en silice, sels minéraux et vitamine C contiennent des tanins : on peut les utiliser comme du thé.
Astringent, diurétique, dépuratif et antirhumatismal en infusion de feuille ou en décoction du rizome séché, toutes les parties de la plante font l’objet de publication au Moyen Âge pour leurs vertus médicinales. On en fait des tisanes, sirop ou onguents.
Au Moyen Âge, les médecins classaient son fruit dans les aliments » chauds et moites « (contrairement au » froids et putrescibles « ) »
Je nous invite à méditer pour savoir quel genre de fruit nous voulons pour les prochaines élections, sachant que déjà on connaît à peu près tous les ministres (= ceux qui se présentent aux primaires)
encore une fraise ?