Puis, peu à peu, les choses changèrent, l’enthousiasme était retombé. Je crois que ce qui m’ennuyait le plus avec le numérique, c’était le côté « tout, tout de suite ». Trop égale bizarrement moins. C’est comme avec l’Internet, un puits sans fin, tu peux tout avoir dans la seconde... Mais a-t-on besoin de tout dans la seconde ?
Réaction d’artisan, au sens noble, dans un monde de boutiquiers, au sens péjoratif... Je pense très sincèrement que vous n’êtes pas à votre place chez les cuistres « progressistes » du Nouvel Obs’... Vos valeurs ne sont pas les leurs.