« En décembre 2009, c’est sa fille Maryline qu’il a fait embaucher par
le conseil général de l’Essonne. […] Qui voit-on arriver à un poste de « chargée de coopération » ?
La fille d’un ancien vice-président du conseil général, par ailleurs
toujours sénateur de l’Essonne. La fille de l’ami des présidents
socialistes successifs du conseil général – à l’époque, c’est Michel
Berson qui est à sa tête. Vous avouerez que c’est quand même une étrange
coïncidence. D’autant plus étrange que ce n’est pas la première. Son
premier job, elle le décroche comme agent administratif à la mairie de
Viry-Châtillon, toujours dans l’Essonne. On est en 1998 et elle a 24
ans. Son père est déjà vice-président du conseil général. C’est, avec
Julien Dray, l’un des leaders de la gauche socialiste, un courant du PS
qui entraîne dans son sillage pas mal d’élus de l’Essonne. Justement, le
lieutenant de Jean-Luc Mélenchon s’appelle Gabriel Amard, et c’est le maire de Viry-Châtillon. Mieux : on le surnomme « monsieur gendre », parce qu’il est le compagnon de Maryline. Si ce n’est pas du favoritisme, je voudrais qu’on me dise ce que c’est. »
Dans la réponse de Marylin, qui dément toute relation « politique » avec ses différents employeurs, on découvre qu’elle part ensuite pour un poste....dans le Jura...La lecture du CV de monsieur Père, montrera au gens intéressés qu’elle à le sens de l’enracinement et que le rejet ne pousse jamais très loin de l’ombre du tronc tutélaire...
Elle confirme aux insoumis qu’ils peuvent être fier de leur leader et marcher la tête haute.
Évidemment cela n’explique pas trop pourquoi son patrimoine total est tellement supérieur à celui de Fillon qui a pourtant occupé des postes notoirement plus important et mieux payés dan sa vie, mais bon.
Habilité dans la spéculation immobilière ? Peut être. Il vient de revendre sa permanence, de racheter un appart à Paris, etc...
Un modèle pour les intermittents du spectacle gauche de gauche en tout cas qui rêvent tous d’habiter dans les centres bobo plus que dans les banlieues dortoir, quand ils ont réellement le choix. ..
Du reste, il n’y a qu’à voir ou se rassemblait les étiques troupes des nuits debout...Pas plus dans les quartiers popu. que les indignés.
Que de tartuffes...