@l’auteur
Entre lois de l’économie mondialisée et politiques locales , ce sont évidemment les lois du marché global qui l’emportent. D’où cette impuissance que vous notez justement.
« Et c’est de cette logique d’asservissement qu’il est très urgent de sortir, mais aucun candidat ne le propose. »
Le seul recours ? Ramener le niveau des politiques de contrôle du marché à des niveaux supérieurs. L’europe est un premier niveau réalisable et qui pourrait sensiblement améliorer les choses. L’idéal étant, et le temps viendra pour ça, un niveau global de contrôle du marché. SR le propose.
Quant à ceux qui proposent des niveaux de contrôle inférieur : retour à la nation etc ... ils proposent en fait de résister à une puissance mondiale avec des moyens encore plus dérisoires : perdu d’avance.