Jean-Michel Blanquer, et pour ma part je le regrette, n’est cependant pas dans une logique de privatisation du système : il y a 2 conceptions contradictoires de l’enseignement ; vous êtes partisan de la privatisation qui a entraîné l’hyper-endettement de familles états-uniennes ou anglaises avec les top-up fees.
En France, pour faire passer cela plus facilement, on le fait petit à petit, en augmentant régulièrement les droits d’inscription.
L’enseignement supérieur sera bientôt réservé à ceux qui ont les moyens, comme ce qui se passe déjà avec les écoles de commerce.
C’est une position que beaucoup ne partagent pas.