Ces situations où l’on se heurte à un mur en cherchant à faire valoir ses droits face à une administration sont toujours scandaleuses.
Mais quel est le rapport avec la directive sur la libéralisation des services ?
Cette directive dit que c’est le droit social du pays où le service est rendu qui s’applique. En l’occurrence la directive aurait dû permettre à Bob de solliciter les autorités belges compétentes en matière de harcèlement moral sur le lieu de travail.
Le problème c’est que visiblement l’administration Européenne est une exception et semble n’avoir de comptes à rendre à personne.
Il ne faut pas confondre. Moi en tant que « oui-oui » ce qui m’exaspère ce sont les amalgames et contre-vérités qui sous-tendent toute l’argumentation des partisans du non et autres opposants à la directive sur les services.