Leonard Cohen avait écrit une chanson remplie de références à la Bible mais aussi connue pour ses sous-entendus érotiques
Elle a complètement déformé la chanson de Leonard Cohen. « Ya illahi » ne signifie pas exactement « Hallelujah » (« louanges à Dieu », en hébreu), mais « Ô mon Dieu ».
Finies les références à la Bible hébraïque et à ses personnages.
Fini aussi le côté subversif (And remember when I moved in you / And the holy dove was moving too / And every breath we drew was Hallelujah).
La suite de la version islamique que n’a pas chantée Mennel – mais que connaît sûrement une partie de son public à qui s’adressait le message ! – raconte l’histoire de quelqu’un qui a pêché et désobéi à Allah, puis décide de revenir vers lui.
C’est clairement du prosélytisme.