Michel,
ne prenez pas Libération pour paroles d’Evangile. Il y a 2 problèmes bien plus graves que ces dates de péremption supposémment dépassées dans de trop nombreux cas de dons de méchants occidentaux. 1) les dons sont détournés et revendus par les proches des potentats locaux (nombreux exemples en Afrique) 2) les contrefaçons fabriquées dans le pays, dépourvues de tout principe actif, st le lot de beaucoup de marchés sud -asiatiques.
C’est un découpage de l’odieux inflgé par les dirigeants et les entrepreneurs de toutes tailles à leur propre peuple dans une vrai spécialisation : le détournement et la corruption aux Africains, les Asiatiques ayant quité ce registre pour la copie industrieuse. Reste pour l’homme de la rue de Lagos et de Phnom Phen l’impossibilité de se soigner sans beaucoup d’argent.