@Self con troll
Il est difficile de répondre à votre question, mais personnellement je ne pense pas, que toutes les molécules de synthèse aient pas un pouvoir féminisant. Ceci dit la tendance est là, par la nature biologique même des hydrocarbures, en y incluant tous les plastiques et leurs dérivés chimiques.
La fragilité masculine aux insecticides et aux pesticides, est aussi avérée, et j’irai plus loin en posant une question précise, à savoir, si la fragilité masculine, lorsque l’on crée de nouvelles molécules, ne serait pas non plus une données particulière et précise, à prendre en considération. La tendance planétaire, au niveau des mâles de toutes les espèces, est très inquiétante. Quant à l’espèce humaine, sans les moyens de fécondations artificielles, elle déjà serait déjà menacée d’extinction, par la baisse vertigineuse de la fertilité masculine.
Il y a, c’est sûr, un antagonisme entre toutes ces molécules de confort et notre sécurité biologique.
Par compte, je me demande, si la tendance dans la nature même, ne serait pas à la féminisation, et cela, de façon presque imperceptible. Le chromosome Y semble être un résidu... En tout cas culturellement, par delà les apparences, il me semble que c’est toujours sous jacent, et la fébrilité du pouvoir masculin sur les femmes, en est une confirmation même. Mon idée derrière, serait que la part de nécessité de féminisation, serait plus importante que celle du hasard, dans le phénomène, pour des raisons que nous ignorons…
Le masculin et la virilité ne sont que des symptômes de la testostérone, et c’est pour cela que j’en ai brossé quelques avantages. Une féminisation totale donne des sociétés que nous connaissons, chez les insectes. Le problème devient philosophique. Je ferai une dernière remarque, concernant la dernier quartile des personnes les plus douées, où la gente masculine est surreprésentée.