Allez, je vais être à contre courant de ma pensée profonde, qui au fond n’est jamais qu’une pensée.
J’ai rencontré en Cévennes et par ici des tas de femmes qui vécurent toute leur vie de jeunes et d’adultes, avec beau-papa et beau-maman, pardon belle maman, qui faisaient la loi. La bonniche de tous, elle filait doux ; elles ne m’ont pas raconté comment leur homme les enfilaient le soir mais peu importe, on soupçonne un soupçon de frustration là aussi.
Et puis quand les enfants étaient élevés, c’était les beaux-parents qu’il fallait soigner ; c’est bizarre je n’ai pas vu souvent beaucoup d’amour, de tendresse et de regrets dans ces paroles. pas non plus d’animosité ou de colère.
Certes, je n’ai pas vu tout le monde.