Non, c’est plus que mauvais, car cela s’inscrit toujours dans la logique absurde de compétitivité san fin et de concurrence internationale. C’est une logique d’accumulation et non de répartition, de transferts et non de créativité.
C’est économiquement non viable au regard de la mondialisation et sera forcément générateur de conflits.
De plus, cet impôt n’a de social que le nom, il s’agit d’un tour de passe-passe économique, rien de plus. Les économistes français ne savent-ils que copier aveuglément ce qu’ils voient à l’étranger ?
La taxe de contribution sociale maximum de Dominique Estérez semble bien plus appropriée et innovante, à la fois dans son versant social et dans l’espace qu’elle libère pour les petits entrepreneurs créatifs.
Il va de soi que toute réforme économique doit s’inscrire dans le cadre global de la mondialisation actuelle, politique, social et culturel. Aussi la TVA sociale n’apparaît que comme un gadget économique résiduel d’un vieux système de pensée, conformiste et dépassé.
Concernant une approche de la TCSM voir mon article :
La TCSM, une alternative à l’équilibre de la terreur