Là où je me marre, c’est quand je vois les favorisés friqués qui ont réussi, avec de l’entregent, à se faire construire de magnifiques villas « les pieds dans l’eau » qui voient leur bien massacré par la nature.
Là où je pleure, c’est quand ces salopards invoquent la solidarité pour se faire indemniser et par la suite, l’augmentation des primes d’assurances...