S’occuper de la guerre des chiffres, c’est rentrer dans leur jeu, et leur jeu est de nous décourager !
J’ai laissé passé à la caisse, hier vers midi, un gars qui achetait des « conneries » pour faire tenir « les gars du rond-point ».
Non, le mouvement commence, et le soutien c’est aussi ceux qui ne se les caillent pas dehors mais qui apportent un café, des biscuits, ou des clopes !!! Ceux qui en parlent...
Ceci étant dit, quel bel article jubilatoire, merci Gérard.