Le crises ont pour intérêt de montrer ce que les gens ont dans le ventre....Ce Ferry n’a rien à voir avec Jules. Mefiez vous des imitations. Un type qui s’émeut pourtant des convois de train, à l’époque où les étoiles jaunes vous discriminaient, et vous transformaient en parias.
Il y eut à cette époque une frange d’intellectuels nauséabonds et scélérats, tels Brazillach, et Celine, pour oublier leur qualité d’intellectuels, les sortant normalement du pire, c’est à dire de l’invective, de la volonté de clivage.
Il se prétend philosophe. Pour la pensée de la modernité, celle qui n’est pas dans les manuels scolaires, et dont on ne dispose pas encore de fiche, l’homme montre que sa pensée est d’un beaufitude consternante, pire, est une appel aux excès, à une sainte Barthélémy. Camus disait qu’on pouvait tuer autant avec un stylo et un mot qu’avec un fusil. Où sont ils les Camus, aujourd’hui ? . A quel excès doit se livrer ce Ferry quand il est hors micro ?
L’histoire retiendra que cet homme de peut de consistance, brillait plus par sa capacité d’opportuniste que de voyant !