Tout à fait d’accord avec vous. J’ajouterai en outre que l’identité entre le peuple et son chef est un thème constant dans les régimes de type autoritaire.
De là à qualifier Ségolène Royal de dictatrice en puissance, il n’y a qu’un pas, que je ne franchirai évidemment pas. Que ce discours ne soit pas suivi d’actes est un moindre mal, j’en conviens — comme le populisme est un moindre mal comparé au fascisme.