Quand d’un côté il y a les 1% tellement cousus de pognon qu’ils ne savent plus quoi en faire (parce qu’évidemment ils ne leur viendraient pas à l’idée à ses blaireaux d’aider les pauvres) et de l’autre des gens qui bien que travaillant n’arrive plus à manger décemment dès la moitié du mois, le chaos est à la fois irrépressible (à moins de tirer massivement dans le tas) et inévitable.