La solution est pourtant simple : Dissolution et élections avec une bonne dose de proportionnelle pour que le débat puisse avoir lieu au Parlement et non dans la rue...
Mais non, le gouvernement joue le pourrissement et la radicalisation et vient ensuite pleurer sur le lait renversé en se drapant dans une pseudo légitimité républicaine qui ne trompe plus grand monde.
Jusqu’à quand cette mascarade ?