@ Florian Mazé,
Dans votre article, ce qui me gêne avant tout, c’est cette phrase :
Le professeur Étienne Chouard est un marchand d’espoir pour un public qui n’est pas sans misère intellectuelle.
Pouvez-vous expliquer ce que vous entendez par « misère intellectuelle » ? Et ne trouvez-vous pas méprisant de votre part, cette condamnation d’avance du public de Chouard, de ses capacités à comprendre son message et la trame de sa réflexion ?
Avez-vous fait l’effort de rencontrer le public de Chouard ? De discuter avec les participants — nombreux — de ses conférences ?
Etes-vous prêt à admettre qu’un Peuple c’est aussi une adjonction numérique de divers tempéraments, personnalités, avec divers degrés de compréhension et d’adhésion à une idée ? Ce que nous voyons avec Chouard, c’est que ses idées ont réellement pris racine chez les gilets jaunes, aussi est-il clair qu’ils pigent vite et même.... extrapolent pour l’avenir sur cette idée de Démocratie, avec tous les outils intellectuels nécessaires, chez bon nombre d’entre eux, malgré la caricature odieuse qu’en font les médias.
Cordialement.