Vous voulez dire que la violence raciste de la police n’est que le « dernier recours de ceux qui n’ont pas les moyens de s’exprimer autrement » ? Et que « cette violence là nous hurle des choses que nous ne voulons pas entendre » ?
Ou serait-ce que vous n’usez de vos dons de ventriloque en ne faisant parler la violence que comme et quand ça arrange votre prêt-à-penser sociologisant ?