S’il fallait se fier aux sondages, et bien en 2002, Le Pen n’aurait jamais dû se retrouver au deuxième tour. Les sondeurs pour vendre leur camelote à chaque élection présidentielle amusent les Français avec un roman feuilleton à rebondissement. En 2002, c’était J-P Chevènement, le miraculé de la République qui occupait les pévisions des « analystes politiques », cette année, c’est l’extrême-centriste Bayrou.
Allons soyons sérieux et ne nous gargarisons pas des sondages et de leurs commentaires journalistiques.