La chloroquine vient d’être autorisée dans les hôpitaux pour les cas
désespérés. Alors qu’on aurait pu imaginer l’utilisation de la
chloroquine le plus tôt possible pour éviter les complications, voilà
qu’elle n’est autorisée que pour ceux qui arrivent en fin de vie.
Il s’agit donc d’une ultime maneuvre des autorités sanitaires, et
politiques, du pays pour tenter de torpiller ce médicament, et celui qui
l’a mis sur le tapis. Au passage, remarquons que ces gens font passer
leur amour propre avant l’intérêt de ces malades qui, eux, préfèrent être
soignés que simplement isolés. En attente soit d’une guérison naturelle
en occupant pendant plusieurs semaines une place d’hôpital, soit d’une
complication qui, au bout du bout, peut être mortelle.
A moins que la chloroquine puisse ressusciter les cas devenus désespérés à force d’attente.....