la solution est pourtant simple.
Il suffit de laisser libre le médecin de prescrire de l’hydrochloroquine + azithromycine aux patients légèrement atteints tout juste dépistés positifs, avec leur accord et sous la responsabilité du médecin.
Il n’y aurait pas eu tout ce cinéma si le mage Chloroquinix ne l’avait pas présenté dès le début comme la potion miracle qui allait éradiquer le virus, pour se faire mousser médiatiquement. C’est en cela que le prosélytisme de l’apothicaire de la canebière est fautif.
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