Cet auteur n’a jamais exercé le moindre commandement, ni exercé la moindre responsabilité. Sinon, il saurait combien il est difficile de prendre de bonnes décisions, et de les appliquer. Or il n’a jamais abordé ni la question des informations et des savoirs, ni la question des pouvoirs dans sa cité utopique ; il n’imagine pas à quel point cela peut déborder et chier dans le yaourt.
Sous l’apparence d’un vernis de raison, c’est aussi psychotique que les délires mégalomanes de Julien Coupat.