Les poètes l’ont dit et chanté, « La femme est l’avenir de l’homme », la femme, l’énergie féminine, le sensible, l’art dans son ensemble, l’irrationnel.
Tout cela contrebalance l’esprit cartésien de l’auteur de l’article. Soyons bref et clair, devant un verre à moitié rempli, il me semble bon pour l’humain de décrire un verre à moitié plein, plutôt qu’un verre à moitié vide. Les mots sont dynamiques et créatifs.
Cinquante années d’application des sciences humaines me l’ont révélé. Je parle de ce que je connais. D’autre part les scientifiques reconnaissent les bienfaits de l’effet placébo.
La plénitude met en joie, ouvre le coeur et l’esprit, active les prédicats visuels, auditifs et kinesthésiques qui encouragent la communication et favorisent l’éveil de la conscience.
Le vide incline au néant sartrien et flatte notre arrogance de minus autodestructeurs dangereux.
Voulez vous vraiment rayer de la carte de l’univers la plénitude de l’essence féminine ?