97 millions de morts directs, seulement ???
Petit jeu !
Certes, il faut convenir que le scénario reste particulièrement prudent en n’incluant aucune réaction ou entrée en jeu de la Chine, ni en regard du chaos s’ensuivant d’un éventuel effet d’aubaine offrant à Israël l’opportunité d’une « solution finale » au problème iranien, ou encore d’une fenêtre d’opportunité permettant au Pakistan et à l’Inde une résolution définitive de leurs vieux contentieux, ou au Sultan de régler élégamment la question kurde, ..., et j’en oublie sûrement une multitude d’autres !
Un autre biais un peu vicié de l’étude est que, si l’OTAN dispose toujours bien d’une supériorité numérique écrasante, il semble qu’il soit — même au niveau de l’armement conventionnel (en) — technologiquement très largement surpassé (fr) par la Fédération de Russie, ce qui expliquerait certes que les frappes russes atteignent toutes leurs cibles, mais s’avère quelque peu optimiste quant au succès des frappes occidentales (en). Ceci dit, on ne doute pas que leurs arsenaux respectifs comptent à leur actif quelques « surprises » des plus plaisantes et, par élémentaire pudeur, non encore officialisées.
La réduction drastique des populations humaines proclamée par les Georgia Guidestones mérite certainement mieux ! Même les modélisations des « experts » rémunérés par l’ami Bill et autres sponsors de Big Pharma pour justifier la « vaccination » de l’humanité ouvraient aux perspectives d’une hécatombe bien pire, mais on convient qu’il peut s’agir d’une stratégie en deux temps et que la combinaison du coronavirus et avec sa « vaccination » laisse à terme espérer de bien meilleurs scores.
L’avantage écologique de l’échange de missiles reste que — sans même compter l’effet à moyen terme des radiations sur nos contemporains survivants — l’hiver nucléaire qui s’ensuivrait devrait tout à la fois permettre d’améliorer les scores et réduire plus rapidement le réchauffement climatique. Et si j’admets volontiers que les effets collatéraux auraient un impact global sur l’ensemble de la biosphère, il est bien connu qu’on ne fait pas d’omelette sans casser quelques œufs, et elle devrait à terme et moyennant quelques inévitables « mutations » s’en remettre nettement mieux que nous !
Que du bonheur, d’autant que nous sommes aux premières loges pour le feu d’artifice !