Le vote Nicolas Sarkozy, au même titre que tous les autres suffrages, mérite le respect de toute la classe politique.
Je suis heureuse du score de Nicolas Sarkozy malgré l’hystérie collective concernant sa personnalité et sa prétendue dangerosité.
Hier soir, les journalistes, les commentateurs, les peoples ont démontré leur peu de respect pour un suffrage démocratique fort de plus de 11 millions de voix.
Ils démontrent une absence d’objectivité totale, une partialité de fait jusque dans la manière de libeller et d’orienter les questions.
Soi-disant type d’électeurs : + de 50 ans, marginalisé, nationaliste, xénophobe, racaille sortie du FN.
Eh bien non !
Cet électorat là est diverse, jeune ou vieux, dynamique, tourné vers le monde et l’avenir, sûr de soi, enthousiaste.
Un vrai choix de société.
Ce vote-là, au même titre que tous les autres suffrages, mérite le respect de toute la classe politique.
Nicolas Sarkozy récolte le suffrage d’électeurs qui cherchent à être gouvernés de façon moderne, progressiste, volontariste, innovante.
Ségolène Royal fait cependant une campagne remarquable, le PS lui doit une fière chandelle.
Non, n’en déplaise aux crieurs de la pensée linéaire et réductrice, le vote Sarkozy est un bon vote de gens désireux de sortir de l’assistanat, de l’omni-puissance et de l’ultra-interventionnisme de l’Etat.
C’est la voie vers une bouffée d’air
Les Français veulent un chef d’Etat, un pilote à la barre, capable de réformer malgré les protestations qui ne manqueront pas de s’élever.
La France veut retrouver une voix forte qui résonne dans le monde et qui lui redonne une influence de premier plan.
Cela fait plus de quinze ans que je suis Nicolas Sarkozy, dont le parcours, qui ne cède en rien à la facilité, mérite le respect du à un travailleur acharné, un courage associé à la ténacité.
Les 31.11 % du candidat de l’UMP sont largement le résultat d’une adhésion à une personne, à une personnalité, à une vision précise du monde, à un programme, à une équipe.