Une pensée pour les mômes sénégalais, de Casamance et de Gambie, pas trop emmerdés par leur cursus scolaire et capables de se démerder avec à peu près n’importe quoi rien qu’en observant et en harcelant les sachants, parmi les leurs ou les oiseaux de passage...
Ils sont « présents » à 110%, tout le temps !
La première fois où j’ai vu les tripes d’un Iphone, c’était là-bas, opération réussie, remplacement de la prise du chargeur avec des outils qui n’auraient pas fait rougir le forgeron du coin.
Nos mômes sont pourris par une société délétère qui ne leur permet même plus de rêver, de s’ennuyer, de découvrir leur propre moyens d’expression, leur voie propre.
Ils ne sont même plus curieux, ils sont éteints, souvent...
Quel gâchis.
Ma nostalgie d’enfance, c’est avant tout un ennui d’une grande richesse, d’une grande qualité.