Ou comment faire admettre aux gueux le principe éblouissant de la mutualisation des dettes et de la privatisation des bénéfices...
Si la banque marche bien, on n’en voit pas les retombées dans notre condition de gueux .
A l’inverse, si elle boit le bouillon, on la renfloue par la banque centrale ( et ces magouilles financières nous retombent au final sur la poire, car ce renflouement ne coûtera pas un rond à un Bill la seringue par exemple, ou un Arnaud pour faire hexagonal... le péquenaud du coin / moi au hasard / lui, aura droit à l’inflation non compensée et devra se serrer la ceinture ...