La comédia dell’arte de la censure
Petite Musique de Nuits noires en ex Yougoslavie et de grâce réveillons les ces vieux articles du monde et de libé 95, quelqu’un produit un article où il attaque un homme en avouant cependant dans cet écrit n’avoir pas vu le film, puis après visionnage s’excuse après ? c’est indécent de la part d’un homme qui est reconnu par lui même et les médias comme homme de la matière sagesse-Sofia.
« Est-ce ainsi que les hommes vivent..et si j’y tenais mal mon rôle, c’était de n’y comprendre rien »
Underground EK, Chat noir Chat blanc...guerre et souterrains minés, et qui donc a crié haut et fort dans le monde de l’art, dans le monde intellectuel pour s’indigner quand il y a eu interdiction de jouer une pièce prévue dans un théâtre prestigieux et de surcroit subventionné ? RDDV ministre a approuvé la censure, je me souviens avoir lu une bonne chronique à ce propos, article de Guy K...i dans un hebdo si peu intéressant sauf quand il s’agit de tomber par hasard sur les chroniques de Guy K.....i que dorénavent j’essaye de ne pas rater dnas le journal qui porte le nom de la femme symbole de la République.
Peter H, Emir K, Wim W, Harold P, Michael H, de grands noms français du monde de la culture s’indignent en France ? Y a-t-il danger que les intellectuels de France soient sourds ?
http://www.humanite.fr/journal/2006-05-05/2006-05-05-829301
Plus France comédie : « De nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer »le rétablissement en France d’une forme de censure« . Les protestations d’écrivains et de réalisateurs sont nombreuses. L’écrivaine autrichienne Elfriede Jelinek, Prix Nobel de littérature 2004, s’est dite »horrifiée« par la décision de l’administrateur de la Comédie-Française. Un texte signé par une quarantaine de personnalités, dont Elfriede Jelinek, Wim Wenders, cinéaste, Luc Bondy, metteur en scène, et Harold Pinter, Prix Nobel de littérature 2005, stigmatise »la mise au ban" de l’écrivain autrichien.
Le metteur en scène et dramaturge Olivier Py, directeur du Centre dramatique national d’Orléans, soutient, dans un entretien au quotidien « Libération » daté du 8 mai, la décision de Marcel Bozonnet de déprogrammer une pièce de l’écrivain Peter Handke.
Olivier Py, qui a rendu publique, le 10 mai, une pétition - signée par 150 personnalités du monde culturel - soutenant la décision de Marcel Bozonnet, affirme que ce dernier « a le droit de dire non » et de déprogrammer un « spectacle qu’il avait lui-même choisi ».