On est loin du modèle anglo-saxon et américain en particulier où un John Kennedy parvenait à débaucher quelques républicains ou un Reagan quelque démocrates pour conduire leurs politiques sans qu’ils renoncent à quoi que ce soit.
François Mitterrand s’y était essayé sans grand succès en ne débauchant que du menu fretin (les médiocres Soissons et Rausch).
Un sectarisme bien français (tant à gauche qu’à droite ; un Juppé se serait probablement comporté comme un Hollande),et un Sarkozy très malin au passage qui joue l’ouverture en surfant sur les idées d’un autre (François Bayrou).