George W. Bush n’agit pas en Président des Etats Unis dans l’intérêt de son pays, ni même en Républicain dans l’intérêt de son parti, mais en fondamentaliste dans l’intérêt du fondamentalisme. En ce sens et depuis le départ, il mène une stratégie gagnante. Y compris et surtout en Irak.
Loin de constituer des « dommages collatéraux » de la guerre en Irak, la partition du pays ainsi le renforcement des fondamentalistes (dans la région - en particulier en Iran et en Israel, mais aussi en Europe, en Asie, en Amérique... partout dans le monde) étaient non seulement prévus mais souhaités ; the very aim of the sick game.
L’Iran suit logiquement, non comme l’étape suivante mais comme l’ultime combat aux yeux des theocons les plus fanatiques, qui espèrent dans un camp la seconde venue du Christ et dans l’autre celle du Mahdi (cf ci-dessous mon blogule sur le sujet en janvier dernier).
La tension a sensiblement diminué depuis quelques mois mais pas la motivation de ces fous furieux.