En parlant de difficultés de distribution, on peut signaler les plus grandes difficultés.
Dernièrement, les petits éditeurs étranglés par la Poste qui a augmenté ses tarifs privatisation/profit obligeant, se sont vus contraints de faire une petition.
Pétition qui a obtenu des milliers de signatures, de tout ceux qui aiment les livres, de préférences libres et bons.
Car le monde des petits éditeurs dépérit, disparaît au rythme du cours de la concentration médiatique.
Aux dernières nouvelles, les Editions du Temps qu’il Fait, éditions de qualité constante, loin des modes, toujours au plus près de l’écrit restituant l’humain avec style, sont en grand péril.
Ils ont lancé une souscription.
Il n’est pas interdit d’y penser et des les aider.
Le Net c’est l’info qui vient, qui donne le dernier « la » du monde et permet de saisir l’évolution dernière. Les livres, c’est notre capital durable pour comprendre en profondeur l’homme, pour saisir ses sensibilités les plus intimes, pour analyser le long terme de nos incessantes évolutions sociales.
Il faut lire et acheter des livres, si possible.