En fait, involontairement, Jean-Pierre Xcnzeknzrlveig a raison sur un point : pour la construction européenne, il y a un Astérix qui fait tache (c’est l’un des moins bons, d’ailleurs) : c’est Astérix et les Goths. Goscinny regrettera par la suite de s’être laissé aller à de la germanophobie un peu revancharde. La guerre de 39-45 n’était pas encore loin. Mais ça, l’enfileur de mouches suscité ne s’en doutait manifestement pas.
Pour le reste, rien a dire, au contraire, tous les peuples et tous les travers humains qu’évoque Goscinny, c’est pour les rendre plus attachants, en fin de compte. Et il faut sacrément travailler du chapeau pour comprendre l’inverse.