Tempête dans un verre d’eau, sur une iconographie en tous points relative.
Astérix ou Mordor, ou Spiderman ou Shrieck, qu’importe. L’important c’est l’enfant, c’est l’homme qui légifère sur l’enfant.
Comme si on pouvait régler une cause par le doudou choisi.
Pourrait-on imaginer que l’UNESCO déclare que la déclaration des droits de l’enfant l’oblige à examiner les droits bafoués des hommes de par le monde ?
Pourrait-on penser que l’UNESCO reconnaisse une connexion directe entre de possibles avancées pour les enfants de par le monde et la dégradation continue des droits humains sur cette Terre dont nous ne sommes, in fine, que légataires envers ceux qui en auront la charge, nos enfants ?..
Et admette, enfin, qu’une gesticulation médiatique n’est pas à la mesure d’un problème qui oblige à sérier les priorités, à corréler les objectifs, à considérer que nos enfants n’auront meilleure reconnaissance, meilleure vie que si nous, les dépositaires bien mal barrés de cette Terre, obtenons justice et liberté aujourd’hui, pour ouvrir la porte grande à demain ?..