En réalité, on retrouve le rôle de l’artiste tel qu’il fut pendant des siècles : au service d’un puissant qui lui offre sa protection, il chante ses louanges et lache son fiel sur les adversaires de son protecteur. Seuls quelques uns purent s’affranchir de cela, ou se montrer suffisamment subtil pour que le mécène ne se rende pas compte qu’il était le dindon de la farce.
Alors, Johnny en barde officiel et Doc Gyneco en bouffon du roi ?