Il est difficile de relater le vécu d’une personne. Très certainement, il y a eu des omissions. Des évènements ou d’autres faits oubliés.
Des procédures non citées.
Un récit, peut-être, pas suffisamment clair.
Ce qui est sûr, c’est que Lise n’a pas été épargnée.
Entre des violences, une interdiction de défendre un mineur, une interdiction d’obtenir une pension à son fils étudiant, des entraves constantes par des auxiliaires de justice, qui un jour verront le boomerang leur revenir en pleine figure, mais ce jour là, ils n’auront pas la larme du peuple ! .... Il suffit de se rendre au ministère de la crise de la justice.
Ce qui est sûr, c’est que cela vaut la peine de déposer une plainte pour violences pour en final, se retrouver handicapée. La justice n’a jamais été capable de la protéger de son mari, de ses représailles et de ses complices.
Alors, mesdames, messieurs les victimes allez déposer plaintes !!
Maintenant, elle en a assez, elle veut le calme, la tranquillité et surtout oublier.
Une petite annotation consécutivement au récit sur l’accident du train cité plus haut.
Au moment du procès, pendant une pause, dans la salle des pas perdus, l’avocat de la défense s’adressa aux parents d’une victime décédée qu’il avait dû percevoir comme impressionnables ou peut être secoués par les audiences.
Tout en les approchant, il leur demanda s’ils étaient chrétiens.
Ces braves gens répondirent par l’affirmative. Alors, l’avocat leur répliqua : « si vous êtes chrétiens, vous ne pouvez faire condamner ce jeune ! »
Il créa, incroyablement, un cas de conscience chez ces gens, qui en plein procès revinrent sur leur décision et demandèrent pour un enfant tué, le franc symbolique de l’époque !
je ne cois pas, par ailleurs, que cet avocat, lui, se soit contenté du franc symbolique.
Le Procureur était ailleurs, pendant ce chantage !
Ceci est la pure vérité.