S’il n’y avait pas eu le collège unique, je n’aurais pas eu la chance, étant en échec scolaire, de pouvoir rencontrer quelques profs qui ont pris la peine de poser un autre regard sur moi, qui m’ont permis d’aller plus loin, et au final de rencontrer les grands auteurs et les structures mentales nécessaires pour construire un discours cohérents.
Cracher sur le collège unique est facile, économise une pensée sur l’école : le mouvement ne date pas du collège unique, mais déjà dans les années 1960 de la création des CES.
Quel pari démocratique que l’école pour tous !
Doit-on y renoncer ?