C’est une belle ballade du temps jadis, ici délivrée. Mais comme le dit Frankie, les singularités, les coups de coeur et de colère incarnés dans les plaques des rues de Paris, nous les regardons avec la distance amusée ou indifférente que provoquent les cartes postales.
A Paris comme ailleurs, n’habitons-nous plus nos villes ?..Tristes tropiques, ici comme là-bas.