Mon cher Gazi Borat, et bien dites-donc, vous aussi vous m’en bouchez un coin !
Si je peux m’exprimer ainsi sans que celà vous inspire trop d’amour pour moi.
Mais j’adore vous entendre parler de sexualité, vous me semblez avoir beaucoup de fantaisie dans ce domaine.
Et puis tenez, puisque vous me parlez de testicules, de génétique, de Noirs au sexe gigantesque, de Juifs perfides et de violences sexuelles (quelle imagination !), dites moi donc ce que vous pensez de ces femmes « racoleuses », ces petites vicieuses provocantes, celles qu’on viole dans les « tournantes », parce qu’elles l’on bien mérité ?
Pensez-vous qu’elles chantent l’ode à la poule d’eau, ou la fameuse chanson parlant de neige s’infiltrant à travers la fenêtre, tandis qu’on les sodomise avec une bouteille de coca ?
Et celle que l’on brûle à l’essence parce qu’elle s’est refusée à un gamin qui pensait, pauvre petit chéri à sa mémère, que les filles musulmanes en France ont juste le droit d’ouvrir les cuisses et de se marier au coup de sifflet comme dans son bled d’origine, croyez-vous qu’elle joue du saz ?
Allez-y, lachez-vous encore une fois, je vous lirais avec plaisir.