S’il suffisait de porter un jean et un t-shirt pour faire parti du mouvement punk ça se saurait.
Un peu plus récemment nous avions eu la période grunge que j’ai mieux connue, représentée par Nirvana et Kurt Kobain, un peu dans le même style vestimentaire que le punk, mais loin au niveau musical.
Aujourd’hui nous assistons depuis quelques années au groupe s de rock de jeun’s énervés, il jouent fort mais pas forcement bien.
Je dirais simplement qu’il faut que jeunesse se passe mais surtout que le marketing et devenu omni présent, tous les prétextes sont bons pour faire des ronds, peut importe si le groupe est éphémère, ce qui compte c’est qu’il rapporte du cash très rapidement.
Durant mes année de collégien et de lycéen j’écoutais les Ludwig, les bérus, Parabellum, La Mano, les Shérifs, les Wampas, Noir des, .....
Ces groupes pour la plus part ont disparus, mais les gamins les connaissent, en sera-t-il de même de Tokio Hotel, Limp Bizkit dans quelques années, j’en doute.
C’est à mon avis la différence entre ces anciens groupe qui se sont formées et forgés au fond d’un garage, sur des scènes pouraves dans des bars glauques où cela finissait souvent à coup de rangeots et où être un ados au cheveux gras et mi-longs n’était pas suffisant pour se maintenir devant la scène.
Aujourd’hui les pogos des gamins sont devenus sages, le slam et devenu un art de chanter alors qu’avant slamer signifiait se jeter la tête en avant dans la foule et gare aux concerts peu fréquentés, car certains voyant la foule s’écarter sont repartis avec le nez explosé dans le meilleur des cas s’ils n’avaient pas été piétinés.
Pour résumer ont a garder l’enveloppe et on a jeter le contenu, dommage, si les styliste savent encore ce que cela signifie, peu de gamins gardes à l’esprit cette philosophie.