Vincent, j’ose espérer que le tableau n’est pas aussi noir que vous le décrivez et qu’en France les libertés d’expression et de pensée sont encore respectées. Si les employeurs jugent les gens à l’embauche sur d’insignifiants articles publiés sur internet, je crois que nous ne sommes plus dans un état démocratique.
Je vous remercie néanmoins de vous souciez de mon devenir.