« le gouvernement du pays du ressortissant finalement libéré juge ses grands dieux qu’aucune rançon n’a été payée. C’est toujours une contre-vérité... »
Pourquoi ne dites-vous pas « un mensonge » plutôt quez « contre-vérité » ?.
Ce mot n’existe pas dans le vocabulaire du canton et de la République de Genève ?
Il dit bien ce qu’il veut dire pourtant.