Effectivement, ces régimes ne veulent jamais accepter que leur système est défaillant. Pourtant, c’est la seule manière d’aller de l’avant et améliorer les choses. Dans ces pays, quand quelque chose ne va pas, la « main de l’étranger » est souvent évoquée. Alors quand on trouve l’étanger en question, il n’y a pas de pitié.
Alors que ces infirmières croupissent en prison, de nombreux malades lybiens continuent à contracter et à propager des maladies.