C’est ce qu’ils appellent du « numéraire ». Comme il n’y a pas assez d’or pour assurer les échanges, ils font du numéraire. C’est pratique : ça se multiplie au grès de la demande solvable par toutes sortes de services. Exemple : commissions, plombier, garage... et « produits dérivés ». C’est très subtile « produits dérivés » : c’est presque un détournement de fond mais, c’est pas encore ça. C’est juste à la limite en dessous. Ça sert de « levier » à « garantir l’amplification » du numéraire... Mais bon, il faut s’entendre : un banquier nous prête volontiers un parapluie quand il fait beau temps. Mais nous le retire quand il pleut !