Catherine, je trouve votre article extraordinairement bien argumenté et documenté. Vous posez le problème d’une manière claire et concise, en des termes accessibles au grand public et pourtant vous fouillez votre sujet et nous conduisez à mener une réflexion profonde et pour certains aspects nouvelle. L’angle d’attaque que vous vous êtes choisi me semble très pertinent, novateur, à rebrousse-poil sans agressivité.
« Si un proche que j’aime se retrouve en état de mort encéphalique, la première question que je poserai si les médecins me demandent mon autorisation afin de prélever ses organes est ... » et vous posez très justement et sans afféterie cette question, qui synthétise votre parcours de réflexion.
La « définition légale de la mort » ... formule en soi terrifiante. Vous avez j’en suis certaine exploré l’histoire de la mort, c’est tout à fait passionnant.
Envisagez-vous une thèse sur ce sujet ?
Par simple curiosité, quelle est votre formation universitaire ? Qu’est ce qui vous a conduite à explorer ce sujet précisément ? DESS ou DEA bioéthique ?
Tous ces compliments pour simplement vous remercier pour votre capacité de réflexion et d’énonciation : savoir c’est bien, mettre à portée des autres, c’est encore mieux. Merci beaucoup.