Je n’ai pas tout lu, mais il me semble que la problématique soulevée est : « Comment ces gens qui paraissent si ’normaux’ ont-ils pu commettre ou laisser faire de telles horreurs » ?
Quelqu’un a-t-il posé la question autrement : « Ces horreurs n’ont-elles pas été possibles parce que ces gens, les bourreaux et leurs proches, avaient déshumanisé les victimes » ?
Il y a en quelque sorte dans cet article, dans les commentaires et dans les médias en général sur ce sujet, une sorte de volonté de renversement de la preuve : On voudrait déshumaniser ces bourreaux pour se rassurer, se dire que nous, êtres humains, ne ferions jamais cela. Il y a là un paradoxe qui me parait évident.