« La non-reconnaissance des minorités », la non reconnaissance légale. (encore que les choses changent apparemment). Les sentiments d’appartenance sont multiples et superposables, c’est, si je vous ai bien lu, le fond de votre article. hors l’Etat ne nie pas aux personnes se sentant appartenir à un groupe particulier le droit de se réunir et de « faire vivre » cette appartenance -en tout cas elle ne le nie plus, surtout pour le cas breton ;) . rien n’empêche de faire partie d’une association de danse bretonne, en même temps que d’une association religieuse, ainsi que celle de son quartier. Mais l’Etat ne reconnaît pas des droits différents selon votre sentiment d’appartenance à différentes communautés. qu’il y ait un échec de l’intégration « nationale » comme « supra-communauté » pouvant englober toutes les autres, certainement. mais tenter de résoudre le problème en mettant en avant le communautarisme pourrait être pire que le mal.
Cordialement.