L’auteur articule son article de manière à critiquer les différents partis, mais réserve son remède de cheval au seul PS.
Son discours n’est pas sans rappeler ce qui a été dit au lendemain de l’élection présidentielle française. Dans les deux cas, c’est largement exagéré. De plus, les circonstances et les résultats sont fort différents.
Le principal point commun, c’est la présence d’un homme fort qui est capable d’occuper le terrain médiatique - l’un par ses contacts, l’autre par son argent. Les autres partis n’ont pas trouvé la parade à cela.
Je doute que le changement de direction dans l’un ou l’autre parti permette d’apporter une solution à ce problème.
Pourtant, l’auteur semble avoir été entendu : les président(e) du PS, de l’UDC et des Verts, notamment, ont annoncé leur retrait.